Expect no love from the beast below.


A la fin du premier épisode Amy Ponds, the scottish one, a rejoint la onzième incarnation du Docteur dans son voyage en TARDIS à travers le temps et l'espace. Dans cet épisode, ils atterrissent sur le Starship UK, le vaisseau spatial transportant le Royaume-Uni dans son entier, comme une île volant parmi les étoiles. Point important, la belle Amy est en nighty (nda chemise de nuit) tout au long de l'épisode et à la fin du premier épisode, on apprend qu'elle doit se marier le lendemain du jour où elle est partie. On a le droit aussi dans cet épisode à un beau « C'est pas l'heure » en prime (nda en référence aux épisodes de la bibliothèque des ombres).

Cet épisode est un peu l'histoire du Petit chaperon rouge/Alice in wonderland à la sauce steampunk, ça m'a beaucoup fait penser à l'Albion Décalé (nda cf The Authority), avec des petits chaperons noirs, les Winders avec leur clé pour remonter les jouets, et les Smilers, des robots troncs en céramique cachés derrière leur vitre dans leur boîte en bois, comme dans les fêtes foraines avec le robot qui donne la bonne aventure, et Liz 10, the bloody Queen. Ce qui nous donne une ambiance, des effets spéciaux, des costumes et une coque de vaisseau bien sympathiques.

On sent encore la patte du nouveau scénariste principal, très orienté horreur, mais moins la patte du nouveau Docteur,
même s'il reste fou dangereux, de manière plus froide. Matt est vraiment bon mais moins enthousiasmant que dans le tout premier épisode. Ce qui n'est pas le cas de la toujours très belle Karen Gillian (nda Amy), mais il ne faut pas oublier la non moins belle Sophie Okonedo, qui dispute la deuxième place du top des meilleurs compagnons du Docteur (Mon top : 1. Rose 2. Donna 3. Captain Jack) et qui pourrait même très bientôt disputer la première place.

Steven Moffat laisse sa place au scénario à Mark Gatiss (nda c'est lui qui avait fait L'Hystérique de l'étrange lucarne, l'épisode avec la fée télévision) pour le temps d'un épisode.